Entretien avec l’IA : Dans 500 ans, que restera-t-il de la mode telle que nous la connaissons ?
La mode, reflet de nos identités, de nos cultures et de nos sociétés, est en constante mutation. Mais si l’on se projette dans plusieurs siècles, à quoi ressemblera-t-elle ? Les vêtements tels que nous les connaissons (tissus, coupes, saisons et codes sociaux) pourraient disparaître ou évoluer radicalement, transformés par des technologies toujours plus avancées et des pratiques inédites. Quelles contraintes actuelles s’effaceront, comment la technologie réinventera-t-elle notre rapport au vêtement, et quelle place restera-t-il pour l’artisanat et le savoir-faire traditionnel ? Pour tenter de répondre à ces questions, TNS s’est entretenu avec chatGPT sur l’avenir de la mode.
Quels aspects fondamentaux de la mode actuelle sont les plus susceptibles de disparaître ou d’évoluer radicalement dans les prochains siècles ?
« Si l’on se projette dans plusieurs siècles, certains aspects fondamentaux de la mode que nous connaissons aujourd’hui semblent voués à disparaître ou à se transformer radicalement. Les contraintes matérielles, par exemple, pourraient devenir obsolètes : pourquoi se contenter de tissus quand des matériaux adaptatifs ou des surfaces modulables pourraient changer de couleur, de texture ou de forme selon nos envies et nos besoins ? Les saisons et les tendances cycliques, autrefois dictées par l’industrie et la culture, pourraient perdre leur sens dans un monde où chacun pourrait personnaliser instantanément son apparence. Même les codes sociaux, qui déterminent aujourd’hui ce qu’il est « approprié » de porter selon le contexte, pourraient s’estomper face à des modes ultra-individuelles, fluides et temporaires, dictées non plus par des marques ou des stylistes, mais par des interfaces numériques ou des algorithmes de personnalisation. Bref, ce qui risque de disparaître, ce n’est pas la mode elle-même, mais la manière dont nous la concevons et la consommons. » – Chat GPT
Comment les technologies comme l’impression 3D, les textiles intelligents ou la réalité augmentée pourraient transformer notre rapport aux vêtements ?
« Les technologies comme l’impression 3D, les textiles intelligents ou la réalité augmentée ont le potentiel de bouleverser notre rapport aux vêtements de manière profonde. L’impression 3D pourrait permettre de créer des pièces uniques sur mesure, instantanément, éliminant le besoin de stocks ou de production industrielle massive. Les textiles intelligents, quant à eux, pourraient rendre nos vêtements interactifs : des tissus capables de réguler la température, de changer de couleur ou même de réagir à notre humeur pourraient transformer chaque tenue en un objet dynamique et vivant. La réalité augmentée, enfin, pourrait faire disparaître la frontière entre le physique et le virtuel : des vêtements virtuels superposés à notre corps pourraient exister sans jamais être fabriqués, ouvrant la voie à une mode infiniment modulable et éphémère. Ensemble, ces technologies rinventeraient la fonction sociale et esthétique des vêtements, faisant passer la mode d’un code collectif à une expérience personnalisée, presque organique, et totalement fluide. » – Chat GPT
Si les vêtements deviennent modulables et interactifs, quelle place restera-t-il pour l’artisanat et le savoir-faire traditionnel ?
« Même dans un futur où les vêtements deviennent modulables, interactifs et hypertechnologiques, l’artisanat et le savoir-faire traditionnel ne disparaîtront pas nécessairement, mais leur rôle pourrait profondément évoluer. Loin de se limiter à la production de masse, l’artisan pourrait devenir un créateur d’expériences uniques, intégrant des matériaux et des techniques anciennes dans des designs technologiquement avancés. Les broderies, les tissages, les cuirs travaillés à la main ou les motifs artisanaux pourraient coexister avec des textiles intelligents ou des structures imprimées en 3D, apportant une dimension humaine et culturelle que la technologie seule ne peut reproduire. Ainsi, plutôt que d’être remplacé, le savoir-faire traditionnel pourrait se redéfinir comme un langage esthétique complémentaire à la mode numérique et modulable, un moyen de garder une connexion tangible avec l’histoire et l’identité culturelle, même dans un univers futuriste et hautement technologique. » – Chat GPT
Jeanne Ducreau
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