
L’horreur est-elle devenue le contenu le plus rentable du web ? – 1 minute pour comprendre
📈 Squeezie a transformé la peur en série culte : ses vidéos inspirées de « threads horreur » cumulent plus de 150 millions de vues au total.
🏚️ Le Grand JD a bâti un empire sur l’exploration de lieux hantés, entre adrénaline et curiosité morbide.
💀 Les creepypastas, ces légendes urbaines nées du web, alimentent désormais une économie complète : vidéos YouTube, podcasts, TikToks, threads…
Alors, la peur est-elle devenue le meilleur business du web ? 👇
Une nouvelle génération de conteurs
🎬 Si les histoires de peur se racontent moins autour du feu, YouTube a su recréer cette intimité : une personne, souvent seule dans sa chambre, vous parle à voix basse.
💡 Le Youtubeur Feldup, par exemple, soigne chaque détail pour créer l’angoisse : des lumières tamisées, une fenêtre entrouverte, un sourire figé, un silence qui dure un peu trop longtemps…
D’autres comme Le Grand JD ou Silent Jill par exemple, transforment cette tension en expérience réelle, explorant des lieux abandonnés ou réputés hantés, caméra à la main.
👥 Ces conteurs modernes réussissent ainsi à faire frissonner des millions de spectateurs… et à monétiser leurs histoires.
Le frisson social et viral
📲 En 2025, les contenus horreur explosent sur les réseaux. Sur TikTok, les hashtags #HorrorTok et #PsychologicalThriller cumulent plusieurs milliards de vues.
😱 Cris, jump scares, vidéos « trouvées » ou scènes paranormales : ces formats ultra-courts dopent les algorithmes et se partagent à la vitesse de la peur.
📈 Sur YouTube, la chaîne Wansee – L’Horreur animée cumule 52 millions de vues et un taux d’engagement bien supérieur à la moyenne.
🎃 À chaque Halloween ou sortie de film marquante, les recherches et l’engagement autour des contenus horreur explosent, tous formats confondus.
Est-ce le plus rentable du web ?
💡 Oui dans certains cas : faible coût de production + forte audience = bon retour potentiel.
❓ Non de manière absolue : l’horreur est très rentable mais dans un éventail de contenus web très large, il ne garantit pas « le plus rentable » à lui seul.
🔮 De plus, consommer de l’horreur requiert un certain état d’esprit (le soir, lumière tamisée…) et peut atteindre un plafond de saturation.
Verdict ?
👉 La peur est devenue un business rentable et redoutablement efficace. Néanmoins ce n’est pas encore le contenu roi du web. L’horreur prospère dans l’ombre, à mi-chemin entre art et algorithme, et c’est peut-être là que réside tout son pouvoir…
Les + vues
Inscrivez-vous !
INSCRIVEZ-VOUS À 
NOTRE NEWSLETTER !
![]()
Renseignez votre adresse mail
pour recevoir nos nouveautés
et rester informé de nos actualités.
Top Mots Clés :
                        
                        
                        
                        
                        
                        
                        
                        
                        
                        
                        
                        
                        
                        
                        
                        
                        
                        
                        
                        
                        
                        
                        
                        
                        
                        
                        
                        
                        
                        
                        
                        
                        
                        
Laisser un commentaire