
Aux Caraïbes, De Niro bâtit un hôtel à 250 M$ – 1 minute pour comprendre
🤑 250 millions de dollars : c’est l’investissement annoncé pour The Beach Club Barbuda, le nouveau complexe de luxe de Robert De Niro (avec James Packer et Daniel Shamoon).
🏝️ Le projet est implanté sur la plage « Princess Diana Beach » à Barbuda, une île des Antilles peu développée jusqu’ici.
🏡 Il comprendra un Nobu Beach Inn de 17 villas-hôtel + 25 villas front de mer personnalisables (à partir de 12 M$ chacune) ; ouverture prévue début 2026.
Alors, que cherche vraiment Robert De Niro aux Caraïbes ? 👇
Le luxe comme manifeste
🌴 Avec ce projet, De Niro entend faire de Barbuda un refuge d’exception pour une poignée d’ultra-riches.
🍣 Le Nobu Beach Inn proposera des bungalows intimistes, un bar à sushis omakase, des bains de glace et des cinémas privés.
🏗️ L’architecture se veut “low-impact” : matériaux naturels, toits plats végétalisés, lignes sobres pour se fondre dans le paysage et structures pensées pour résister aux ouragans.
🎬 L’acteur-producteur transforme ainsi son nom en véritable marque d’hospitalité globale, après New York, Ibiza ou Manille.
Une stratégie économique bien calculée
💸 Les 25 villas vendues entre 12 et 15 millions servent à autofinancer le resort tout en attirant une clientèle collectionneuse.
📈 Nobu, aujourd’hui valorisée à plus d’un milliard de $, poursuit son expansion sur les segments les plus exclusifs du globe.
🧾 De Niro mise sur la rareté : un lieu quasi vierge fréquenté autrefois par Lady Di, devenu symbole d’exclusivité pure.
💼 Objectif : capter une clientèle ultra-haut-de-gamme prête à payer pour un isolement luxueux et le prestige d’un nom.
Un pari fragile sur une île meurtrie
🌪️ En 2017, l’ouragan Irma a détruit plus de 90 % des infrastructures de Barbuda.
⚖️ Depuis, les grands projets touristiques divisent, entre promesse de relance et crainte de spoliation foncière.
🌍 Les habitants dénoncent parfois un « tourisme d’appropriation » face à des investisseurs étrangers puissants.
🧱 Si De Niro promet tourisme, emplois, formation et infrastructures, la confiance locale reste à construire…
Un symbole des nouveaux empires du luxe
🌐 Après Clooney au Lago di Como ou encore DiCaprio à Belize, De Niro inscrit Barbuda dans cette géographie du luxe expérimental.
⏳ À l’heure où le tourisme durable devient un enjeu majeur, son modèle interroge : réhabilitation ou mirage tropical ?
💭 L’avenir du projet dira si cette “renaissance caribéenne” relève du génie visionnaire… ou de la démesure.
Verdict ?
👉 Robert De Niro transforme Barbuda en laboratoire du luxe extrême, durable dans le discours, exclusif dans les faits. Le pari est colossal, autant financier qu’éthique. S’il réussit, il pourrait redéfinir l’hôtellerie haut de gamme des Caraïbes ; s’il échoue, il restera comme l’emblème d’un rêve d’acteur devenu mirage de milliardaire.

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