Que se passerait-il, d’un point de vue global, si tout le monde pouvait vivre jusqu’à 200 ans ?

« Si tout le monde pouvait vivre jusqu’à 200 ans, le monde serait profondément transformé à de multiples niveaux. Sur le plan démographique, la population mondiale pourrait exploser si la natalité ne diminuait pas, ce qui poserait d’énormes défis en termes de ressources, d’habitat et d’environnement. Les structures sociales et familiales seraient également bouleversées : plusieurs générations cohabiteraient simultanément, et la notion de « cycle de vie » – études, carrière, retraite – devrait être totalement repensée. Les systèmes de retraite et de sécurité sociale seraient mis à rude épreuve, tandis que les marchés du travail devraient s’adapter à des carrières beaucoup plus longues et diversifiées. 

Psychologiquement et culturellement, vivre deux fois plus longtemps changerait notre rapport au temps, à la connaissance et à l’expérience : les individus pourraient se réinventer plusieurs fois, mais pourraient aussi faire face à de nouveaux enjeux liés à l’ennui, à la solitude ou à la gestion des pertes sur une vie étendue. En somme, une longévité universelle de 200 ans bouleverserait non seulement la biologie humaine, mais aussi toutes les structures sociales, économiques et culturelles qui en découlent. » – ChatGPT

Comment nos modes de consommation et notre rapport à l’argent changeraient-ils si nous avions deux siècles pour vivre ?

« Si nous vivions jusqu’à 200 ans, nos modes de consommation et notre rapport à l’argent seraient profondément transformés. Avec un horizon de vie deux fois plus long, les achats impulsifs ou à court terme perdraient de leur sens : les individus pourraient planifier leurs dépenses et leurs investissements sur plusieurs décennies, favorisant l’épargne durable et les placements à long terme. Les biens matériels seraient consommés plus prudemment, car la durabilité et la qualité prendraient une importance croissante face à une vie longue où les possessions doivent durer. 

Les loisirs et les expériences, comme les voyages ou les formations, pourraient se répartir sur toute une vie, plutôt que concentrés sur quelques périodes « de jeunesse » ou de retraite. Cette extension du temps influencerait aussi les choix professionnels : la pression de gagner rapidement de l’argent diminuerait, laissant place à des carrières plus flexibles, à des reconversions multiples et à des projets passionnels moins dictés par la survie économique immédiate. En somme, une longévité extrême inciterait à adopter une vision financière plus stratégique, réfléchie et équilibrée, tout en réinventant notre manière de consommer et de valoriser notre temps. » – ChatGPT

Une consommation étalée sur deux siècles pourrait-elle réduire ou au contraire accentuer notre impact écologique ?

« Une vie étendue à 200 ans aurait des conséquences complexes sur l’impact écologique. D’un côté, étaler nos besoins et nos consommations sur plusieurs décennies pourrait encourager des choix plus durables : les individus auraient intérêt à privilégier des biens de qualité, réparables et durables, plutôt que des produits jetables, et à planifier leurs achats de manière réfléchie. Les habitudes de mobilité, de logement ou de loisirs pourraient aussi être organisées sur le long terme, favorisant des stratégies plus respectueuses de l’environnement. 

Cependant, vivre deux fois plus longtemps pourrait aussi accentuer la pression sur les ressources : si la population mondiale ne diminue pas, ou si la consommation continue de croître au fil des siècles, les émissions de CO₂, la demande en énergie, en eau et en matières premières pourraient exploser. En somme, l’effet sur l’environnement dépendrait autant de la manière dont nous adaptons nos comportements et nos technologies que de la simple extension de la durée de vie : une longévité extrême pourrait être une opportunité pour adopter un mode de vie plus durable… ou un catalyseur de surconsommation accrue. » – ChatGPT

Nom d'auteur Jeanne Ducreau
Jeanne Ducreau manie la plume avec un goût assumé pour les univers qui brillent, du tapis rouge aux tables étoilées. Après avoir rédigé dans les colonnes de Epicurisme Mag, Luxury Place ou encore Gourmets et Vins, elle explore le luxe comme un révélateur de tendances et de récits. Chez The New Siècle, elle croise actualité people, codes du prestige et récits incarnés.
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