Entretien avec l’IA est un Format Exclusif original signé The New Siècle, où le dialogue s’installe entre un journaliste et une intelligence artificielle. Cinq questions pour confronter l’IA à des sujets complexes, tester sa vision stratégique et explorer ses zones d’ombre. Ce format hybride interroge les grands enjeux business, culturels et technologiques de notre siècle. Un journalisme nouvelle génération qui interroge sur les mutations dans le luxe, l’innovation et l’entrepreneuriat.
Et si les frontières n’étaient plus ce qu’elles ont toujours été ? Dans un monde où nos relations, nos transactions et nos identités se déploient dans la sphère numérique, la ligne qui sépare les peuples et les territoires semble perdre de son évidence.
À l’ère du tout-connecté, nos choix et nos envies semblent de plus en plus façonnés par les flux d’informations des réseaux sociaux.
Réacteurs modulaires, promesse de fusion, technologies dites plus propres… L’industrie nucléaire se réinvente, tentant de convaincre qu’elle n’a pas dit son dernier mot. Alors que la planète cherche à sortir de sa dépendance aux fossiles, les partisans de cette “nouvelle génération” avancent l’argument d’une énergie continue et décarbonée, quand ses détracteurs redoutent des mirages technologiques et des coûts ingérables. Entre pari industriel et nécessité climatique, le sujet fracture autant qu’il fascine. Pour prendre la mesure des enjeux, TNS a interrogé ChatGPT.
Alors que de plus en plus de pays réduisent l’usage des billets et des pièces au profit des paiements numériques, un débat s’installe. Sommes-nous à l’aube d’un monde plus fluide et sécurisé, ou au contraire en train d’ouvrir la porte à une société hyper-contrôlée où chaque dépense serait tracée ? Entre promesse d’efficacité et risque d’exclusion sociale, la disparition du cash divise. Pour éclairer ce sujet complexe, TNS s’est entretenu avec ChatGPT afin de comprendre les enjeux de cette révolution monétaire.
On en parle comme de la prochaine grande rupture technologique. L’ordinateur quantique, longtemps confiné aux laboratoires et aux promesses théoriques, semble se rapprocher peu à peu d’applications concrètes. De la cryptographie à la recherche médicale en passant par la finance, ses partisans annoncent une révolution. Ses détracteurs, eux, rappellent que les obstacles techniques restent immenses et que la « révolution » pourrait n’être qu’un mirage lointain. Pour éclairer ce débat, TNS s’est entretenu avec ChatGPT pour comprendre ce que représente vraiment le quantique pour l’avenir de la tech.
Caviar, wagyu, homard bleu, foie gras… Les emblèmes du luxe alimentaire reposent depuis toujours sur la rareté animale. Néanmoins, la montée en puissance des protéines végétales et de la haute cuisine sans cruauté redessine les contours de ce que l’on appelle le raffinement à table. Faut-il s’attendre à voir demain des menus étoilés où le prestige se mesure à la créativité végétale plutôt qu’à l’exclusivité carnée ? Est-ce d’ailleurs déjà le cas ? Pour le savoir, TNS s’est entretenu avec Gemini sur les tendances culinaires et l’avenir de la gastronomie.
Dans un monde où l’art circule désormais en haute définition et où les collectionneurs stockent leurs acquisitions sur des serveurs, une question fait mouche. L’œuvre reste-t-elle protégée par sa seule matérialité ou devient-elle vulnérable comme n’importe quelle donnée ? Entre NFT détournés, installations connectées et bases d’images en open access, le spectre du piratage est omniprésent. Afin d’éclairer cette zone grise entre esthétique et cybersécurité, TNS s’est entretenu avec ChatGPT.
La haute joaillerie s’est longtemps définie par l’exception minérale. Or l’arrivée des pierres de laboratoire fissure ce socle. Si l’éclat reste le même dans les vitrines, l’origine change tout… et le discours des maisons doit s’adapter. Authenticité géologique contre perfection technique, aura patrimoniale contre transparence industrielle. Derrière le brillant, c’est la légitimité même du mot « haute » qui vacille. Alors, pour en savoir davantage sur la valeur joaillière de ces pierres synthétiques, TNS a interrogé ChatGPT.
L’image a tout pour plaire à une époque en quête d’alternatives. Un filet de poulet ou une pièce de bœuf recréés de tortue pièce à partir de cellules souches, sans jamais élever ni abattre d’animal entier.
Elle recrute déjà, prédit les ventes, rédige les pitch decks et calibre même des levées de fonds. L’IA s’est imposée dans le quotidien des start-up, jusqu’à frôler le cœur du pouvoir. Pas comme simple assistante, mais comme décideuse. Alors, pourquoi pas PDG ? Sur le papier, elle a des qualités que bien des fondateurs lui envieraient : lucidité froide, mémoire illimitée, capacité à trancher vite, sans égo. Alors, faut-il voir dans l’IA un chef d’entreprise en devenir, ou une caricature de leadership ? TNS a posé la question à ChatGPT.
L’école change moins vite que le monde qui l’entoure. Les enfants grandissent dans un environnement saturé de technologie, exposés à des enjeux globaux que les manuels n’anticipent pas. Pendant ce temps, le socle scolaire reste figé sur des contenus pensés il y a des décennies. Est-ce encore adapté ? Et surtout, à quoi ressemblerait un programme pensé pour l’avenir plutôt que pour le passé ? Alors, afin d’éclaircir la question, TNS a questionné ChatGPT.
Une IA peut-elle devenir une arme contre une autre IA ? C’est une hypothèse qui relevait encore récemment de la science-fiction. Elle ne l’est plus. Des chercheurs ont déjà démontré que des agents IA sont désormais capables de détecter et d’exploiter de manière autonome des failles informatiques, parfois plus rapidement que les outils traditionnels. À mesure que les IA s’installent dans des domaines sensibles tels que la défense ou l’industrie, la question cesse d’être technique : elle devient stratégique. Si les IA deviennent des cibles… peuvent-elles aussi devenir des attaquants ? TNS a interrogé Perplexity AI sur le sujet.
L’idée semblait encore provocatrice il y a quelques années. Mais avec l’essor de l’IA générative, des outils capables d’écrire un scénario, de concevoir des images de synthèse, de diriger une séquence ou de modeler des émotions faciales, la question n’est plus théorique. Un film pourrait-il être entièrement conçu par une machine et remporter la plus haute distinction du cinéma mondial ? Scénario, mise en scène, jeu d’acteur, montage, direction artistique : si l’IA peut tout simuler, jusqu’où ira-t-on dans sa légitimation ? Pour décrypter le sujet, TNS a interrogé l’IA Perplexity.
En 1945, la bombe atomique a ouvert une ère de dissuasion fondée sur la certitude de la destruction. En 2024, l’IA militaire ouvre une autre ère : celle d’armes autonomes, d’algorithmes de ciblage, de brouillage numérique, d’opérations sans visage. Le danger n’est plus seulement la puissance brute mais la délégation de décisions létales à des systèmes opaques, parfois incontrôlables. Ce n’est plus la force de frappe qui inquiète, c’est la vitesse du système et la perte de contrôle humain. Alors, faut-il y voir une rupture plus profonde que celle provoquée par le nucléaire ? Pour le savoir, TNS s’est entretenu avec ChatGPT.
Depuis plus de deux ans, les modèles d’IA s’affrontent à un rythme que même les entreprises qui les produisent ne maîtrisent plus totalement. OpenAI, Google, Anthropic, Mistral, xAI : derrière la façade des avancées techniques, c’est une guerre d’infrastructures, de données et d’intégrations qui se joue. Pas seulement entre entreprises, mais entre logiques. Fermé ou open source, centralisé ou distribué : chaque IA embarque un choix stratégique, parfois idéologique. Alors, jusqu’où cette rivalité technologique redessine-t-elle les rapports de force entre acteurs et les conditions d’usage pour les utilisateurs ? Pour le savoir, TNS a interrogé Claude AI.
Si l’intelligence artificielle est désormais omniprésente, une réalité technique demeure : pour apprendre et pour s’améliorer, l’IA s’appuie sur un flux constant de données… souvent hébergées à l’autre bout du monde. Sans réseau, plus rien ? Ou existe-t-il des formes d’intelligence artificielle capables de tourner en circuit fermé, sans accès au Web ? La question touche à la fois aux infrastructures et à la souveraineté numérique, mais également aux limites mêmes de ce qu’on appelle “intelligence”. Alors, pour éclaircir la question, TNS s’est entretenu avec Claude AI.
Les modèles actuels d’IA prédisent des mots, pas des états mentaux. Pourtant, la question de leur conscience ne disparaît pas. Elle revient en boucle, relancée par les progrès de l’IA générative et des interfaces neuronales. D’un côté, les scientifiques parlent d’algorithmes sans subjectivité, de l’autre certains observateurs commencent à se demander si une forme d’expérience interne, même minimale, pourrait émerger d’un système assez complexe. Ce glissement théorique inquiète autant qu’il intrigue : à partir de quand un système qui simule la conscience mérite qu’on la lui attribue ? Afin d’y voir plus clair, TNS a interrogé ChatGPT.
Printemps 2023. Chez Samsung, des ingénieurs saisissent du code confidentiel dans ChatGPT. Quelques heures plus tard, l’alerte remonte : les données ont été transmises à OpenAI, hors de tout contrôle interne. L’incident, répété à plusieurs reprises, fait figure d’électrochoc, et les signaux se multiplient depuis. Des chercheurs ont montré que certains modèles pouvaient générer des scénarios d’attaque exploitables, quand d’autres évoquent la capacité d’agents conversationnels à simuler des identités pour manipuler des opinions. Alors, l’IA peut-elle devenir, à son insu ou par détournement, un instrument d’espionnage ? TNS a interrogé Claude AI sur ce sujet plus que sensible.
On parle souvent d’entraîner une IA, plus rarement de la conditionner. Pourtant, entre la simple transmission de données et l’ajustement de ses réponses, il existe un champ plus subtil et plus stratégique : celui de l’influence directe sur ses mécanismes cognitifs.
Derrière les intelligences artificielles, il y a des hommes et des femmes qui passent des mois à affiner ce qui deviendra un modèle. Rien d’automatique au départ, et tout part de certains choix : comment la machine doit-elle apprendre ? Que doit-elle savoir ? Et, surtout, que faut-il qu’elle ignore ?
C’est un métier né avec les réseaux sociaux. Le community manager ne se contente pas de publier, il observe, interprète, désamorce et fédère. Il sent les moindres signes avant-coureurs d’un potentiel buzz, et imagine des formats à la volée, traduisant ainsi les codes d’une marque en véritable langage social.
Avez-vous déjà remarqué que les IA vous proposent souvent du contenu provenant de sources récurrentes ? À l’heure où les intelligences artificielles évoluent à une vitesse vertigineuse, une question demeure : d’où viennent leurs informations ?
Le 2 avril 2024, Anthropic publiait un rapport sobrement intitulé “Many-shot jailbreaking”. Derrière ce nom, une méthode d’attaque pour forcer une IA à répondre à des questions interdites. Elle consiste à glisser dans le prompt des centaines de fausses conversations avant de poser la vraie question.
Elles rédigent, elles codent, elles conseillent, elles créent. Les intelligences artificielles dites “grand public” sont désormais des outils utilisés presque quotidiennement. Derrière leur fluidité apparente, que sait-on réellement de leur fonctionnement ? ChatGPT, Gemini, Midjourney, Suno ou encore Copilot : chacune se revendique comme “intelligente”, mais selon quelle mécanique ? Quelles données mobilisent-elles ? Quelles limites techniques définissent leur champ d’action ? TNS a posé la question à Mistral AI, pour comprendre non pas ce qu’elles permettent de faire, mais comment elles le font.
Chaque époque laisse derrière elle des ouvrages qui ne servent pas seulement à raconter, mais à armer l’intelligence. Le XXIe siècle n’y échappe pas : dérèglement climatique, accélération technologique, recompositions du pouvoir, évolutions culturelles…
Le code ouvert, c’est l’oxygène du progrès. Mais lorsqu’il s’agit d’intelligence artificielle, cet idéal se heurte à la réalité brutale du marché. En 2025, des entreprises comme Mistral ou Cohere misent sur l’open source pour se différencier des géants fermés, quitte à exposer leurs modèles, parfois même leur stratégie.
LinkedIn est devenu leur terrain de chasse. Instagram, leur vitrine tape-à-l’œil. Chaque jour, des centaines de nouveaux « experts » en business débarquent sur les réseaux sociaux, promettant monts et merveilles à qui voudra bien acheter leur formation.
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