Cette robe a nécessité 3 500 heures de broderie – 1 min chrono pour comprendre
👑 + de 3 500 h : c’est le temps qu’il a fallu pour broder la robe de couronnement d’Élisabeth II en 1953.
👗 Ce chef-d’œuvre en satin duchesse blanc a mobilisé 12 brodeuses pendant près de 3 mois.
🌍 Chaque motif brodé symbolise une nation du Royaume-Uni ou du Commonwealth.
Que révèle cette robe exceptionnelle ? 👇
Une commande royale, un créateur de génie
✏️ En octobre 1952, Norman Hartnell, couturier officiel de la cour, a reçu la mission de concevoir la robe du couronnement.
📜 Il a proposé à la reine 8 esquisses inspirées des traditions royales.
👗 Celle-ci a choisi une robe blanche, sobre mais somptueusement brodée, dans l’esprit de sa robe de mariée.
Une broderie chargée de symboles
🌸 Les emblèmes floraux du Royaume-Uni et du Commonwealth ornent la robe.
💫 Les broderies réalisées à la main mêlent fils d’or et d’argent, soies aux teintes pastel et cristaux ça et là : autant de symboles de paix et de prospérité.
👑 Le monogramme royal EIIR est brodé à la base de la jupe, au milieu des fleurs et symboles qui encerclent le bas de la robe.
🌿 Il est surmonté d’une couronne, et est entouré de rameaux d’olivier.
Une prouesse technique
🧵 12 brodeuses se sont relayées entre mars et mai 1953, utilisant 18 types de fils d’or différents.
⏳ Le travail s’est effectué sous contrôle strict et à cadence soutenue.
📐 La robe était accompagnée d’une cape de velours pourpre bordée d’hermine, longue de plus de 6 mètres.
Une pièce entrée dans l’Histoire
📸 Portée une seule fois à l’abbaye de Westminster le 2 juin 1953, la robe est réapparu lors de la tournée royale en 1954.
🏛️ Elle est aujourd’hui conservée dans la Royal Collection et régulièrement exposée.
Verdict ?
👉 Pensée pendant des mois et brodée 3 500 heures durant, cette robe porte une symbolique particulière : celle d’un savoir-faire rare, déployé pour prononcer sans un mot la majesté d’un règne à peine commencé.
Juliette Lamy
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