
Les plus beaux cols de montagne à faire en Ferrari ou Porsche
Envie d’un road trip de luxe à travers les sommets ? En Ferrari F8 ou Porsche 911 Turbo S, certains cols mythiques deviennent des terrains de jeu exceptionnels. Avec des courbes millimétrées, un bitume impeccable et le silence alpin brisé par le grondement du moteur, chaque virage est un shoot d’adrénaline stylé. The New Siècle a sélectionné pour vous les plus beaux cols où la conduite de prestige prend de l’altitude.
Col de Turini : la légende de la Côte d’Azur

Niché dans l’arrière-pays niçois, le Col de Turini n’est pas qu’un lieu culte du Rallye Monte‑Carlo, c’est une masterclass de virages serrés et de dénivelés secs. La montée depuis Sospel ou La Bollène-Vésubie est une suite ininterrompue de courbes à dompter, idéale pour exploiter les capacités d’une propulsion sportive.
Entre les pins et les murs rocheux, le bitume résonne sous le V8, tandis qu’au sommet, la mer Méditerranée scintille au loin. On y vient pour découvrir la légende et on y retourne pour la pureté de la conduite.
Carnet de route
- Altitude : 1 604 m
- Route : D2566 (Alpes-Maritimes)
- Pente max. : 10 %
- Ouverture : toute l’année hors neige
- Type de conduite : agile, nerveuse, rallye-style
Col de la Bonette : le toit de l’Europe en Ferrari

C’est la route la plus haute de France (et d’Europe, si on compte la boucle sommitale). Un tracé lunaire à 2 802 m d’altitude, où la nature devient brute et minérale. Ici, pas de villages, peu de trafic, juste une bande d’asphalte découpée entre ciel et crêtes.
C’est le spot parfait pour tester les accélérations d’une Ferrari F80 ou d’une Porsche Taycan en altitude. Peu de freinages violents, des lignes ouvertes et un décor à couper le souffle, l’endroit parfait pour un moment de grâce mécanique.
Carnet de route
- Altitude : 2 802 m
- Route : D64 (entre Jausiers et Saint-Étienne-de-Tinée)
- Pente max. : 7 %
- Ouverture : juin à octobre
- Type de conduite : fluide, contemplative, panoramique
Col de l’Iseran : là où la puissance rencontre la beauté

Le col routier le plus haut des Alpes, perché à 2 764 m, entre Val-d’Isère et Bonneval-sur-Arc. Une route classée historique, à l’environnement spectaculaire : glaciers, torrents et sommets à perte de vue. On y roule entre ciel et terre, avec des lignes nettes, peu de trafic et des conditions optimales l’été.
L’endroit rêvé pour révéler le tempérament d’un moteur atmosphérique ou hybride, dans une ascension progressive mettant à l’épreuve souplesse et précision.
Carnet de route
- Altitude : 2 764 m
- Route : D902
- Pente max. : 8/10 %
- Ouverture : mi-juin à fin septembre
- Type de conduite : technique, puissante, immersive
Col du Galibier : la montée des champions

Star du Tour de France, le Col du Galibier (2 645 m) est un défi à lui seul. Entre Valloire et le col du Lautaret, la route joue à cache-cache avec les falaises, dévoile des lacets sans fin, et exige du pilotage précis.
Ici, pas de place pour l’à-peu-près : dosage des freins, trajectoires millimétrées, tenue de cap. C’est une montée pour puristes, une balade entre la route et le ciel. Le tout avec un paysage XXL pour décor de fond.
Carnet de route
- Altitude : 2 645 m
- Route : D902/D1091
- Pente max. : 10 %
- Ouverture : mi-juin à octobre
- Type de conduite : sportive, intense, sinueuse
Col d’Allos : le secret bien gardé des puristes

Plus confidentiel mais tout aussi exaltant, le col d’Allos (2 250 m) est un bijou d’ingéniosité. Moins fréquenté, il serpente dans une vallée sauvage entre Pra-Loup et Allos, avec des vues ouvertes et des virages bien dessinés.
C’est la route idéale pour tester le comportement d’une GT de luxe sans stress, avec un tracé fluide qui appelle à la concentration. Moins tape-à-l’œil que d’autres, mais tellement plus authentique.
Carnet de route
- Altitude : 2 250 m
- Route : D908
- Pente max. : 8 %
- Ouverture : juin à octobre
- Type de conduite : douce, panoramique, équilibrée
Col de la Croix de Fer : la montée qui défie les meilleurs

Dans le massif de l’Oisans, ce col culmine à 2 067 m. Son tracé irrégulier en fait un terrain de jeu technique : alternance de grandes courbes, passages encaissés et murs naturels. Le tout avec une vue plongeante sur les vallées de la Maurienne.
Le revêtement est bon, la fréquentation faible. L’occasion parfaite pour tester des virages appuyés en toute sérénité, entre deux panoramas à couper le souffle.
Carnet de route
- Altitude : 2 067 m
- Route : D926
- Pente max. : 9 %
- Ouverture : mai à octobre
- Type de conduite : variée, rythmée, instinctive
Col du Grand Colombier : le final grandiose

Avec ses 1 501 m d’altitude, c’est l’un des plus impressionnants cols du Jura. La montée est sèche, avec des lacets ultra-serrés côté Culoz et une vue imprenable sur le lac du Bourget une fois en haut.
En Porsche ou en Ferrari, chaque virage est un concentré de sensations. La descente est tout aussi captivante. Idéal pour conclure un circuit de cols d’exception sur une note cinématographique.
Carnet de route
- Altitude : 1 501 m
- Route : D120
- Pente max. : 14 %
- Ouverture : avril à novembre
- Type de conduite : nerveuse, spectaculaire, finale
Conduire ces cols, c’est vivre la montagne à plein régime, en mêlant esthétique, performance et liberté. Que vous soyez team Ferrari, Porsche ou autre bolide à sensations, chaque itinéraire devient une expérience de pilotage totale. Et chaque lacet, un souvenir de plus gravé dans l’asphalte… et dans la mémoire.

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